Alors que plus personne ne doute aujourd’hui de la morbidité intrinsèque au pouvoir de l’argent, les larbins administratifs du terrorisme étatique s’obstinent à poursuivre leur politique coercitive contre l’insignifiant COVID-19. Propagande pseudo-sanitaire, licenciements des infirmiers sceptiques, falsifications des certificats de décès, gonflement des chiffres, séquestration massive de la population, … Bienvenue dans la dictature démocratique du Politburo sanitariste. De quoi faire rougir tonton Joseph lui-même !
Mais par-delà les mystifications coronavirales, la crise universelle de la valeur d’échange, traduite par les taux d’intérêts négatifs, la perfusion financiariste de l’économie occidentale, les gesticulations technocratiques de la FED et autres banques centrales, marque l’impossibilité historique pour le Capital de redémarrer sa course folle basée sur la vampirisation de la vie sociale. Même si les experts ignares et incultes de l’économie politique ont désormais placé leur salut en le Great Reset, il leur sera finalement impossible de réinitialiser quoi que ce soit et de retrouver l’état d’avant-crise. Ne comprenant pas que le mode de production qu’ils défendent repose sur une contradiction auto-destructrice qui se nomme l’extorsion de plus-value, ils sont tout aussi incapables de comprendre que la seule solution à cette problématique universelle se situe en dehors du travail, de la vénalité et de la servitude volontaire
À mesure que les mystifications coronavirales s’estomperont et qu’il sera de plus en plus clair qu’aucune sortie de crise n’est possible au sein même de l’économie qui l’engendre cycliquement, la nécessité de la lutte de classe radicale contre le monde des besoins solvables sera alors clairement posée.
Nous sommes encore dans la phase de la désillusion. Alors que le peuple s’énerve de plus en plus contre le diktat sanitaire, ce qu’on appelle niaisement le « complotisme » ne cesse de se répandre, les petits propriétaires sont ruinés et tombent dans le prolétariat.
C’est ainsi que s’établissent de façon immanente les conditions historiques pour l’affrontement final entre le Prolétariat révolutionnaire et la classe des agents du capitalisme décrépit.
Pour un monde sans argent, ni État !